Auteur :
Qui est l'idiot qui a écrit sur ma porte « Le Narrateur est le
meilleur » ?
Stagiaire :
Celui qui se croit narcissique dans notre boîte.
Auteur :
Si personne n'avoue les faits, je baisse le salaire de tout le monde.
Stagiaire :
C'est le Narrateur en personne, monsieur !
Auteur :
Très bien. Très cher Narrateur, je vous envoie cette lettre de
baisse de salaire pour cause d'écriture sur ma porte que je cite :
« Le Narrateur est le meilleur ».
Narrateur :
Mais j'ai rien fait !
Auteur :
mais oui, mais oui.
Narrateur :
C'est pas juste.
Stagiaire :
Journal du Stagiaire jour N°10, je suis enfin parvenu à me venger
du Narrateur pour l'irrespect qu'il a envers moi, s'il continue, je
ferai pire.
Narrateur :
Le Stagiaire m'a déclaré la guerre on dirait. Si c'est ça que tu
veux alors tu vas l'avoir !
Sur le chemin vers la ville, la
troupe parlait tranquillement de leur histoire en étant plus jeune
ou d'anecdote inutile concernant les animaux. Avec tous cela, un
petit débat entre Dante et Nyna à savoir entre qui, le chien ou le
chat est le plus mignon. Ils arrivent enfin aux frontières du
centre-ville, tout en étant tranquille, le groupe continue de parler
comme si rien ne se passait.
Dante : Toute façon, le
Berger Allemand reste l'animal le plus mignon !
Nyna : Tu connais rien, toi !
Les chats surtout les chatons restent les plus mignons de tous !
Dante : Mais oui, mais oui...
Nyna : D'ailleurs, vous savez
que mon ex ne veut pas que je retourne dans mon ancien chez moi ?
Nymph : Ton ex ? Tu as
eu un ex ?
Nyna : Bah oui. Il veut plus que j'y retourne parce que je ne suis plus l'un des leurs.
Nyna : Bah oui. Il veut plus que j'y retourne parce que je ne suis plus l'un des leurs.
Nymph : Euh... Il était
comment ton ex ?
Nyna : Il est super mignon et
courageux ! Il savait me défendre en cas d'attaque !
Nymph : Le mec parfait on
dirait.
Nyna : Il est tellement doux
et ronronne fièrement à chaque fois que je le remerciais avec des
câlins !
Nymph : Euh...
Dante : Il faisait quelle
taille ton ex ?
Nyna : Dans les un mètre,
pourquoi ?
Dante : Tu es sortie avec un
nain ?!
Nyna : Mais non !
Dante : Ah...
Nyna : Avec un chat !
Dante : ça me rass...
Attends... Répète ?!
Nyna : Je suis sortie avec un
chat. Et alors, ça te gêne ?
Nymph : QUOI ?!!
Dante : Tu m'as retiré le
mot de ma bouche, chérie.
Nymph : je suis pas ta...
Dante : C'était quoi notre
accord ?
Nymph : Pff...
Reo : Dites, ça fait combien
de temps qu'on est là ?
Nymph : toi et moi, euh...
depuis moins d'un mois, pourquoi ?
Reo : Non, mais je dis,
depuis quand on est arrivés en ville ?
Rel : C'est que maintenant
que vous remarquez ?
Dante : Et c'est toi qui a
fait les plus grand yeux de nous tous.
Rel : Toi... !
Hatsuna : Le centre a l'air
désert...
Reo : Il faudrait peut-être
se séparer pour trouver ce président de malheur.
Nymph : Bonne idée. Voilà
les groupes : Rel et Reo, vous continuez sur la route
principale ; Hatsuna et Nyna vous faites les immeubles non
détruits et Dante et moi, on se charge des ruelles et la gare.
Reo : Ok, dès que quelqu'un
le trouve, qu'il trouve un moyen de nous le signaler.
Rel : Pourquoi je dois être
avec toi ?
Reo : Pourquoi pas ?
Rel : J'aurais préféré
Hatsuna ou quelqu'un d'autre.
Reo : Surtout que tu as
failli insulter Hatsuna il y a quelques heures.
Rel : Rien à foutre, je pars
devant et t'avise pas à me suivre, pigé ?
Reo : Si tu veux...
Chacun des groupes partent dans
leur direction qui ont été communiquée par Nymph. Hatsuna et Nyna
commencent avec les immeubles qui sont à leur portée et cherche des
civils ou autre à faire évacuer. Dante et Nymph, malgré les
petites querelles entre eux, forment un bon duo de choc que ce soit
dans le combat ou dans la vie d'étudiant, enfin un peu.
L'équipe de choc arrive dans un
parc non touché par la bataille qui est gravement présente. C'est
une petit étendue verte avec quelques amusements pour enfants et un
panier de basket un peu plus loin. Les deux décident de se reposer
dans ce parc et s'installent chacun sur une balançoire.
Dante : Dis ?
Nymph : Hum ?
Dante : C'est quoi cette
histoire en fait ?
Nymph : Laquelle ?
Dante : Dans moins de deux
mois.
Nymph : Ah, ça... C'est...
Dante : C'est ?
Nymph : Le retour aux
sources.
Dante : Comment ça ?
Nymph : Dans moins de deux
mois, je devrai repartir au royaume céleste.
Dante : Au royaume céleste ?
Euh...
Nymph : Oui, j'ai voulu te
cacher ça jusqu'au dernier moment, mais...
Dante : Tu es pas vraiment
humaine c'est ça ?
Nymph : Non... Je suis un
ange.
Dante : Tu es un... ange ?
Sérieusement ?!
Nymph : Oui, je suis non plus
une personne normale, je suis une générale.
Dante : Punaise !
Nymph : Désolée de t''avoir
caché ça...
Dante : Il fallait pas le
cacher ! Au contraire, c'est super !
Nymph : Tu... trouves ?
Dante : Bah oui ! Tu
peux me montrer tes ailes ?
Nymph : Euh... C'est-à-dire
que...
Dante : Que quoi ?
Nymph : C'est très gênant
pour moi...
Dante : On est que tout les
deux ici !
Nymph : O-ok...
Nymph se lève de la balançoire
et se met en face de Dante. Elle ferme les yeux, de grandes ailes
aussi blanche que la lunes sortent de derrière elle. Les plumes sont
très bien soigné et très écarlate. Dante est bouche bé, il en
revient pas qu'il a donné le défi de sortir avec Nymph sans savoir
que c'était une ange. Nymph déploie subitement ses ailes et se met
au garde à vous.
Nymph : Je suis Nymphia Vactius, Générale en chef dans la section de combat rapproché du royaume Céleste, Célestia !
Dante : Impressionnant !
Nymph : Pardon ! J-je me
suis un peu emportée !
Dante : T'inquiète c'est
rien.
Nymph : O...ok...
Nymph range ses ailes et retourne
s'asseoir à côté de Dante. Celle-ci ne dit plus un mot et reste
rouge comme une tomate. C'est la première fois qu'elle montrait ses
ailes sans qu'on la critique négativement. Durant dix minutes, le
silence prend place. Puis Dante se lève et tend sa main à Nymph.
Elle prend sa main et se lève, mais trébuche et retrouve dans les
bras de Dante. Nymph se reprend et lui tourne le dos en étant toute
rouge
.Dante : On doit retourner
bosser.
Nymph : O-oui !
Dante : J'attends vos ordres,
Générale !
Nymph : M'appelle pas comme
ça, idiot !
Dante : C'est bon, je te
taquine !
Nymph : Méchant !
Dante : Sinon, pourquoi tu
dois retourner à Célestia ?
Nymph : L'Armée m'a demandé
de revenir en toute urgence pour calmer les Démons qui rentre
toujours en guerre contre nous. Je dois défendre nos territoires et
ceux de la Terre où tu vis actuellement.
Dante : Il se passe quoi si
tu y vas pas ?
Nymph : Guerre Nucléaire,
Destruction de la Planète, etc.
Dante : Ah ouais, quand
même...
Nymph : Donc tu vois à quel
point c'est important ?
Dante : Ouais...
Nymph : Voilà !
Dante : Euh... et sinon...
Nymph : Oui ?
Dante : Reo... lui aussi ?
Nymph : De quoi ?
Dante : C'est un ange lui
aussi ?
Nymph : Mais non, je l'ai
déjà dit ! On est pas frère de sang ! Je l'ai adopté
après la mort de ses parents.
Dante : Ah oui, désolé !
Nymph : Pas grave. Assez
parler et continuons nos recherches !
Dante : Ouais, ouais.
Les deux continuent donc les
recherches de leur côté et laisse le parc dans belle verdure encore
non foulée par quelqu'un d'autre qu'eux. Mais celle-ci a été
brûlée par l'impacte d'une bombe ennemi. Le parc ne vit plus.
Dans une autre partie de la ville,
des tir se fait retentir. Hatsuna et Nyna se sont cachés dans un
immeuble pour attendre que les problèmes se calment un peu. Elles
s'installent sur une table encore en bonne état et mangent un bout
de pain ensemble.
Nyna : depuis quand tu aimes
Reo ?
Hatsuna : J-je l'aime pas !
Nyna : Si tu l'aimes pas,
pourquoi tu es si proche de lui ?
Hatsuna : Parce que j'ai
confiance en lui et qu'il est comme un frère à tout le temps me
défendre.
Nyna : Ça cache quelque
chose de plus gros derrière !
Hatsuna : Mais non !
C'est pas...
Nyna : Chut ! Quelqu'un
approche !
En effet des bruits de pas courant
dans toutes les directions retentissent ainsi que des impactes de
balles contre les murs. Depuis l'intérieur, on entend les cris des
personnes qui donnent l'ordre de se replier plus loin et de renforcer
les défenses. La ville se fait annihiler doucement. Quelques minutes
après, le silence refait surface.
Hatsuna : C'est fini ?
Nyna : Je sais pas, mais au
moins c'est plus calme.
Hatsuna : Pour en revenir au
sujet, tu aurai pas un faible pour quelqu'un toi ?
Nyna : Euh n-non non !
Le seul petit-ami que j'ai eu est une petite boule de poil.
Hatsuna : Je vais te croire,
pour le moment.
Nyna : Bah me croire pas
alors !
Hatsuna : Faut qu'on continue
à inspecter les appartements !
Nyna : Oui ! On
continuera notre discussion plus tard.
Elles continuent leur tâche donné
par Nymph. Plus loin, Rel ne se laisse plus suivre par Reo et cherche
de lui-même la personne à tuer. Il arrive devant la galerie
marchande de la gare vide et sans vie.
Rel : C'est bizarre de
revenir ici quand il y a personne.
??? : Tu as raison.
Rel : Qui parle ?!
??? : Aucune importance. Tu
recherches l'assassin de Yulie n'est-ce pas ?
Rel : Oui et c'est toi ?
??? : Non, tu l'as semé il y
a quelques minutes.
Rel : Reo ?!
??? : Il ne te l'as pas dit ?
Il ose pas avouer que c'est lui qui a payé l'assassin.
Rel : Pourquoi il ferait ça ?
??? : Il voulait pas avoir
d'une lèche-botte en plus peut-être.
Rel : L'enflure...
??? : Je vais te donner
quelque chose qui te sera utile pour le battre.
Rel : Quoi donc ?
??? : Tends tes bras.
Rel tend ses bras devant lui. Une
lueur violet fait son apparition ainsi que de la brume. La brume se
dissipe et fait apparaître une paire de gants noires violacés en
armure qui sont longs jusqu'à ses coudes. Une aura très sombre
émane de ces gants. Rel les enfile et remarque qu'ils sont légers.
Il essaie quelques coups sur un mur jusqu'à que celui-ci tombe en
morceau devant lui.
Rel : Des gants de force ?
??? : Utilise-les bien
surtout. Elles sont très rare à trouver maintenant.
Rel : Je m'en vais tuer ce
vaurien de Reo.
Un peu en arrière, Reo cherche
Rel dans les grandes rues. Il ne trouve que des corps de soldats tout
le long et aucuns citoyens. D'un coup, il sent que quelque chose
tourne pas rond et que quelque chose de mauvais s'approche de lui. Il
sort sa lame doucement, se retourne d'un bond pour se retrouver en
face de Rel.
Reo : Ah t'es là, je te
cherchais partout !
Rel : ...
Reo : Allez viens, on doit
trouver le président.
Rel : Pas avant de t'avoir
tué...
Reo : Comment ?!
Rel : Tu as payé un
mercenaire pour tuer Yulie...
Reo : C'est faux tu le sais
bien !
Rel : Menteur !
Reo : Rel, tu as trouvé où
ces gants?
Rel : On me les a donné.
Reo : Je te conseille de les
retirer, ces gant sont maudits !
Rel : Ta gueule ! Je
vais te défoncer !
Reo : Je vais t'enlever de
cette malédiction !
Rel : Tu as baissé ta
garde !
Reo : Hein ?
Rel se précipite sur Reo et lui
donne une coup de poing sur la joue gauche et ceci envoie Reo dans le
mur à trois mètres derrière. Reo reprend ses esprits et esquive la
vague de coup de Rel puis contre-attaque en lui bloquant les poings
sur sa lame. Reo le repousse en arrière et lui lance une attaque à
la verticale. Rel assène un coup sur la lame de Reo qui le
déséquilibre en même temps, mais Reo parvient à se reprendre
rapidement pour enchaîné avec une attaque en diagonale et celle-ci
touche Rel sur le torse et il continue sur sa lancée d'attaque. Rel
a le corps en sang. Ses gants réagissent étrangement et stimulent
les muscle de celui-ci. Il se sent d'aplomb pour continuer le combat
contre Reo et c'est à son tour d'attaquer. Ses attaques sont
devenues plus rapide et plus puissant, mais Reo tient le rythme
malgré la force maudite que Rel se voit octroyer par ses gants. Reo
faiblit petit à petit, Rel est tout près de la victoire qu'il veut.
Reo réussit à se dégager en arrière pour pas recevoir de coup
supplémentaire de Rel et commence à se concentrer. Une aura bleu
ciel tourne autour de Reo et devient de la foudre. Il se met e
position d'attaque avec sa lame en biais, pointant le ciel, fait une
geste rapide en diagonale et celle-ci se transforme en lame de foudre
qui fonce sur Rel. Il est touché et est paralysé. Reo s'approche de
lui, lui retire les gants et les balance au loin. Il aide Rel à se
relever.
Reo : Tu as compris ? Je
ne l'ai pas tuée.
Rel : Pourtant on t'a vu...
Reo : C'est des Yõkais
maléfiques ! Ils cherchent à faire des pactes pour te prendre
ta force et ton corps !
Rel : Je ne savais pas...
Reo : Évidemment, tu avais
déjà tes gants quand j'ai voulu te l'expliquer !
Rel : ...
Reo : Je m'en vais trouver le
président...
??? : Ce n'est pas la peine.
Reo : Tu as fini par te
montrer...
??? : Évidemment, vu que
j'ai vu tes tactiques de combats contre mon apât.
Rel : L'enfoiré !
Reo : Alors ? Tu te
montre ?
??? : Tout de suite mon Reo !
Reo : Que... ?!
??? : On se retrouve enfin !
Reo : Charlotte ! Tu as
réussi à venir ici ?!
Charlotte : oui, c'était
simple vu que je suis déjà venue par là.
Reo : Donc c'est toi la
source de cette guerre !
Charlotte : Bien trouvé, mon
cher Sherlock ! Maintenant c'est ton tour de mourir !
Reo : J'en étais sûr !
Tu as des pouvoirs !
Charlotte : Je suis mi-mage,
mi-esper donc ça va être marrant !
Reo : Tu vas payer pour tous
ce que tu as fait !
Charlotte : Tu vas enfin
comprendre que je faisais ça par amour pour toi !
Reo : Quelle conne tu fais !
Je ne t'aime pas !
Charlotte : Co-comment ?!
Reo : J'aime quelqu'un
d'autre !
Charlotte : Alors... prépare
toi à mourir, infidèle !
Reo recommence à se contrer pour
créer de la foudre et le balance directement sur Charlotte, mais
celle-ci l'aspire dans son corps et le renvoie au lanceur. Il esquive
avec justesse.
Reo : C'était quoi ça ?!
Charlotte : Mon pouvoir
d'esper !
Reo : Impressionnant...
Charlotte : Fini de
discuter ! Place au combat à mort !
Charlotte lance une salve de boule
de feu sur Reo. Reo évite les boules de feu, mais se fait toucher
par le souffle des explosions des boules de feu. Il fonce sur
Charlotte, malgré qu'elle continue avec son attaque magique et
bondit sur elle avec une attaque décisive qui, malheureusement,
échoue avec un contre physique de Charlotte. Reo retourne à la
charge, mais charge son arme de magie de foudre et lance des vagues
de lames de foudre tout en fonçant sur Charlotte. Elle esquive
toutes les vagues, mais se fait surprendre par l'attaque physique de
Reo qui la touche à l'épaule gauche. Charlotte n'a pas pu
s'empêcher de lancer un cri de douleur. Elle s'énerve et lance un
souffle de feu directement sorti de sa main qui brûle les environs.
Reo se fait brûler sa jambe avec le souffle de celle-ci, mais refait
une dernière charge vu que sa jambe lui rends plus faible plus
rapidement. Il concentre toute la foudre pour utiliser une charge
sonique qui triple sa vitesse et réussit à planter sa lame dans le
ventre de Charlotte. Elle se sent faible d'un couple mais envoie une
boule de feu sur Reo qui le propulse contre le mur en face et reste
immobile, inconscient. Charlotte se met à genoux tout en souriant
pour avoir réussi à battre Reo. Elle souffre encore plus avec le
couteau de Rel planté dans le dos maintenant. Elle tombe et ne
respire plus. La guerre est finie. Rel a enfin pu se venger contre
son assassin, celui qui a tué sa bien-aimé, Yulie
Deux jours plus tard, Reo se lève
doucement d'un lit qui lui parut famillier. Il est chez lui, en
sécurité.
Nymph : Te voilà enfin
debout !
Reo : Combien de temps ?
Nymph : Deux jours pour te
remettre.
Reo : Il s'est passé quoi ?
Nymph : Tu as blessé
Charlotte, mais Rel l'a achevée avec son couteau. Il s'est bien
vengé.
Reo : Il a aussi arrêté la
guerre.
Nymph : Ouaip, l'armée de
Charlotte est décimée et l'ancien gourvernement du pays voisin
s'est excuser des problèmes qui ont eu ses dernier jours.
Reo : et les autres ?
Ils vont bien ?
Nymph : Niquel ! Ils
sont tous contents que c'est fini.
Reo : Tant mieux alors !
Nymph : Je te laisse cinq
minutes pour te préparer. Le petit-déj' est servie en bas.
Reo : J'arrive !
C'est ainsi que Reo a pu reprendre
un rythme d'étudiant normal pour un moment et retrouver ses amis en
cours sans qu'il y ait de problèmes. Rel s'est excusé devant Reo
pour ce qu'il s'est passé, mais disparaît le lendemain en disant
qu'il deviendrai un mercenaire de la ville. Il avait gardé les
gants, mais toutes malédictions dessus ont été retirée par Nymph.
Il a fallut plus de deux semaines pour nettoyer les peu de débris
qu'il y avait en ville, mais la reconstruction de certains bâtiments
vont durer un moment.