Note de l'Auteur :
Si quelqu'un peut aller chercher mon café que j'ai oublié dans le
hall, merci.
Note du Narrateur :
Merci de dire au stagiaire d'aller chercher le café pour le patron.
Note du Stagiaire :
Merci de dire au Narrateur que je ne suis pas un esclave.
Note du Concierge :
Je remercie aux deux flemmard de m'avoir laissé chercher le café
pour le patron. Sans vous, j'aurais pas eu d'augmentation.
Milicien 1 : On a perdu le
98e étage ! On arrivera jamais à la détruire cette chose !
Milicien 2 : On est dans la
merde ! Espérons que Lise s'en sorte...
Milicien 3 : C'est pas sûr
qu'on doit lui faire confiance.
Officier : On se moque pas de
ses compatriotes !
Dans le 99e étage, une grande
peur fait surface. Tout le monde est en panique. La seule personne
qui puisse les calmer est Lise. Une jeune fille de dix-huit ans aux
long cheveux noire et yeux rouge écarlate, toujours habillée avec
une veste blanche aux lignes et fermeture éclaire rouges avec une
capuche où des oreilles de chats y sont intégrées, un haut de
bikini noire que tout le monde voit avec sa veste légèrement
fermée, des leggings noirs avec des cuissarde légèrement plus
claire que ses leggings, des gants blancs. Elle tient en ses mains
deux gros revolvers -waouh!- avec une bande blanche qui est enroulé
sur les parties inférieurs du bras, son chargeur à la Smith&Wesson
ou depuis l'extérieur on voit de la lueur rouge qui a l'air d'être
un aura de puissance électrique, les détente sont en forme d'aile
et aussi les crosses ont une aile de graver. Elle a également des
cicatrices comme si elle a reçu un seul coup d'une griffe 2 fois sur
le haut de ses deux bras.
Lise : Au rapport !
Milicien : Il arrive dans
quelques minutes ! Plus aucun survivant des étages inférieurs
Lise : Putain ! Espérons
que cette chose soit un démon...
Officier : Pour une fois que
tu vas servir à quelque chose !
*Tous les miliciens se mettent à
rire *
Lise : C'est pas le moment de
rire !
Milicien : Bah il a raison
quand même.
Lise : Je vais te...
Milicien : Tu vas me quoi
hein ? Dis-moi !
*Lise flanque un coup de crosse
sur le milicien *
Officier : On se calme !
Lise : C'est moi qui doit me
calmer ?! Vous êtes tous...
Éclaireur : Il arrive !
Lise : Déjà ?!
*Lise met des cartouches rouges
dans ses armes *
Lise : On va voir s'il va
survivre avec ça !
Quelque chose commence à frapper
sur la porte. Ça de vient de plus en plus fort jusqu'à ce que la
porte cède et tombe en avant. Une grande brume noire s'épaissit
devant, les miliciens tirent dessus sans savoir sur quoi il tire. La
silhouette commence à se faire voir. Elle a l'air humaine. Toute la
troupe cesse de tirer en voyant cet humain venir à eux.
Lise : C'est... C'est
impossible !
Officier : Qu'est-ce qu'il y
a ?
Lise : Ce n'est pas...
Officier : Pas quoi ?
Lise : Ce n'est pas un...
démon...
Officier : Pardon ?!
Lise : Je ne peux pas le
tuer...
Officier : Mais moi je vous
ordonne de tirer sur lui !
*Lise pointent ses deux pistolets
sur Reo, mais elle reste hésitante *
Officier : Mais bordel !
Tirez pour qu'on en finisse !
Lise : Mais... Mais
Officier : Feu !
*Lise met son doigt sur la détente
*
Reo : Tu ne veux pas me tuer
pas vrai ?
Lise : Qu-quoi ?
Reo : Ça se voit dans tes
yeux. Tu n'as jamais tué d'humain auparavant.
Lise : ...
Reo : Tu l'oses pas l'avouer
avec ton supérieur c'est ça ?
Officier : Ne l'écoutez pas
et tirez !
Lise : C'est vrai...
Officier : Lise !
Lise : Je n'ai tué personne
d'humain...
Officier : Et alors ?!
Un démon c'est comme un humain !
Reo et Lise : Faux !
Officier : Que... ?!
Lise : Un démon est
forcément une ancienne âme déchu incapable d'aller au paradis.
Officier : Une âme humaine
reste un humain.
Reo : Vous vous trompez.
Officier : J'ai toujours
raison !
Reo : Pas sur ce point.
Laissez Lise continuer.
Lise : Bien... Quand un
humain est considéré comme mort, une âme s'en échappe. Il est
vrai qu'elle peut encore être humaine, mais elle a plus la
conscience d'un humain, mais celle dont le destin aura choisi pour
lui.
Officier : C'est-à-dire ?
Reo : Prenons exemple sur un
tueur en série : Si celui-ci meurt, il arrivera dans des
entre-mondes qu'on appelle aussi le purgatoire. À partir d'ici, sa
conscience humaine disparaît et laisse place à celle dont elle lui
a fait défaut, la mauvaise conscience.
Lise : En ayant pris du
plaisir à tuer des personnes innocentes tout au long de sa vie,
l'homme s'est vu mettre dans le côté des méchants ou plutôt celui
des démons.
Reo : Après il est possible
qu'il puisse devenir un démon déchu, mais c'est une toute autre
histoire.
Officier : Ça a l'air de
tenir la route cette histoire.
Reo : C'est qu'elle est
vraie, enfin dans mon monde.
Officier : Bien, Lise, Tu ne
tueras pas cette homme.
Lise : Merci !
Officier : Mais c'est moi
qu'il va le faire.
Lise : Quoi ?!
Reo : Vous voulez pas mourir,
non ?
Officier : Toute façon, vous
avez tué tout le monde ici.
Reo : J'ai pourtant essayé
de faire venir les miliciens de mon côté avant.
Officier : En leur disant
quoi ?
Reo : Le président est une
présidente.
Officier : Et alors ?
Reo : La présidente est mon
ancienne petite-amie.
Officier : Et vous venez la
tuer ?!
Reo : Oui parce qu'elle a
changé.
Officier : Vous êtes
malade ! Je vous stopperai !
Reo : Si vous me stoppez,
vous allez gagné quoi ? Une augmentation ? Ah j'oubliais,
non vu que c'est une autocratie ici !
Officier : Que... !
Reo : Même mieux ! Je
paries que plusieurs d'entre-vous n'ont pas suffisamment d'argent
pour nourrir votre famille.
Milicien : Il a... raison.
Officier : Ne l'écoutez
pas !
Milicien : C'est vous qui
l'écouter pas, chef ! On va l'aider à réarranger cette
ville !
Officier : Mais...
Lise : Silence, ingrat !
Officier : Tu me parles sur
un autre ton toi !
Lise : Sinon
quoi ?
Officier : Sinon... Sinon... si... Merde !
Officier : Sinon... Sinon... si... Merde !
Reo : Bien. On avance au
dernier étage.
Milicien : Oui, Chef !
Ayant enfin accompli un exploit,
Reo est à la charge d'une petite équipe de miliciens qui veulent
une vie meilleure. Ils pénètrent donc le dernier étage, ils
expliquent la situation aux miliciens. Plusieurs d'entre eux se sont
rebellés, mais une grande partie défende l'étage refusant
d'entendre la vérité. Les rebelles tentent d'évacuer les
prisonniers ainsi que les blessés, mais l'opposition contrent leurs
manœuvres. Du côté de la présidente Charlotte, les infos arrivent
rapidement. Elle bloque l'entrée de son bureau et seul le garde
devant connaît le code de déverrouillage. Heureusement pour Reo et
son groupe, celui-ci prend part à la rébellion et laisse Reo
pénétrer dans la demeure de Charlotte. Quand il entre dans le
bureau, il n'y a personne. Pas même le bras droit de la présidente.
Un mot ainsi qu'une vidéo est présente uniquement. En voyant le
mot, Reo le met rapidement dans sa poche et démarre la vidéo.
Charlotte : Coucou mon Reo
d'Amour ! C'est bien dommage que tu n'as pas voulu m'épouser...
Mais c'est pas grave, il y a des prochaines fois qui sait ?
Comme tu as pu le constater, je suis partie comme une voleuse avec
mon bras droit qui lui est gentil contrairement à toi ! Tu m'as
laissé tomber avant le mariage salaud ! On se reverra peut-être
bientôt. Bisous bisous !
Reo : Merde... trop tard...
Lise(d'un air moqueur) :
Reo... d'Amour ?
Reo : Oublie ça s'il te
plaît...
Charlotte : Ah oui
j'oubliais !
Reo : Elle va me dire « je
t'aime » je parie...
Charlotte : Le bureau
s'autodétruira après la fin de cette vidéo.
Reo : Quoi ?!
Charlotte : Voili voilou !
Je t'aime !
Reo : On se casse !
Ils ont un léger retard sur la
vidéo. Elle est fini et le temps qu'ils arrivent à la porte que la
détonation a commencé. Une grosse explosion venant du bureau
jaillissait. Cette salle n'existe plus désormais. Allongés devant
la porte de l'ex-bureau, Ils se levèrent et prennent la fuite en
allant à l'extérieur. Dehors, toute la milice est prisonnière et
seule quelques uns se sont rebellés. Nymph et Dante sont arrivés
qu'à la fin de la guerre. La ville a été sauvé de la dictature
d'une mauvaise présidente. Plus loin, Nyna cherche un boutique de
souvenir pour amener quelques objets à la maison qui pour du moins
technologique. Yulie s'allonge sur le sol de fatigue.
Quelques heures sont passés, un
nouveau président a été élu : un esper. La troupe s'est
réunie avec une personne en plus : Lise. Elle va venir elle
aussi habité chez Reo et Nymph. Le nouveau président les remercie
de leurs actes et le récompense avec une médaille du mérite. Ils
font les salutations et l'équipe repart dans leur monde d'origine
avec des souvenirs, une médaille et des sucreries.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire